Sans vouloir paraphraser Victor Hugo, Franck Bailleul définit le ciel comme « la véritable irruption de l’ailleurs, de l’immense, il nous regarde avec les yeux de l’invisible, il offre à la pensée un essor sans limite, il est le lieu brulant d’un rendez-vous avec l’infini ». Une galerie qui traduit le besoin de se perdre dans la folie pour mieux se retrouver… L’artiste nous invite dans «un voyage au bout de la vie».